Nan parce que, quand même

11 janvier 2008 à 12:30

Faut pas pousser. Ce qui absorbe DOM THOM depuis environ une demi-heure… c’est l’agenda de Monsieur Patron.

Vous n’imaginez pas à quel point il est difficile de lire un calendrier sur Excel, d’en extraire deux dates de réunion et les incorporer à un tableau Word. Vous n’imaginez pas, et à vrai dire moi non plus.

Je vois qu’il est 12h30, je vais donc commencer à voir jusqu’où les bonnes intentions de DOM THOM peuvent aller… jusqu’à réduire la pause déjeuner à seulement une heure ? Je n’ose imaginer cela possible.

Elle donne d’ailleurs déjà des signes de faiblesse « je comprends pas ce qui est écrit », répète-t-elle depuis qu’elle a commencé à s’occuper du tableau tout-à-l’heure, quand il suffirait d’appeler la personne qui a créé le calendrier pour en avoir le coeur net. Mais, non, ce serait trop simple et surtout, une fois l’agenda fini : QUE FAIRE ? Eh oui ya ça aussi. Je veux dire, bon, bosser, admettons, mais bosser dur, merde, non, quoi !

De mon côté j’ai décrété que cette matinée serait cool ou ne serait pas. Je lis tranquillement la fin de mes 60 p*tain de pages, je bloggue, et pour le reste, qui vivra verra. Je sais que de toute façon, j’attends deux dossiers pour la fin de journée, qui vont de toute façon me mettre sur les rotules plus tard, alors autant se préserver pour ce matin.

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