Pleasantville (28 Septembre 2015)

28 septembre 2015 à 4:50

Pleasantville

C’est dommage qu’au-delà de sa métaphore de départ, Pleasantville n’arrive pas à pousser très loin. Une bonne heure du film est consacrée à montrer toutes les manifestations d’un phénomène qui se comprend en dix minutes à peine ; le procédé est peut-être joli (et technologiquement il était à l’époque pionnier), mais il n’en est pas moins longuet. Pas autant que 7 saisons de Mad Men, mais longuet.

RetourauSecretDiaryofaCinephile-650

par

Pin It

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.